S.M.I. a apposé le 22 juillet sa signature sur la Déclaration micronationale pour la gérance environnementale (Micronational Declaration on Ecological Stewardship).
Fruit de plusieurs mois de coconstruction intermicronationale menée par S.A.R. le Grand-Duc Niels de Flandrensis, par ailleurs secrétaire général adjoint de la MicroFrancophonie en charge de l’environnement, ce document encourage et promeut un certain nombre de pratiques concrètes destinées à limiter le réchauffement climatique et à préserver la planète. La Déclaration a été signée pour la première fois à Atlanta lors du MicroCon 2017, auquel l’Angyalistan n’avait malheureusement pas pu participer, mais il a depuis été ouvert à des signatures additionnelles.
Ce texte prévoit notamment :
- d’encourager les micronations à limiter leurs déchets (compostage, recyclage, troc, limitation du recours au jetable…),
- d’encourager la protection des bassins hydrologiques (recours minimal aux produits nettoyants, engrais phosphatés, lutte contre les risques de fuites de polluants…),
- de demander aux micronations et à leurs citoyens de limiter leurs rejets de CO2 (mobilité douces, compensation par la plantation d’espèces végétales non invasives…),
- de favoriser la réduction de la dépendance des micronations vis-à-vis des combustibles fossiles (énergies renouvelables, production domestique d’électricité solaire ou éolienne),
- de promouvoir les circuits courts et l’achat de nourriture locale, non génétiquement modifiée et respectueuse de l’environnement,
- d’encourager les micronations et leurs citoyens à la préservation de la biodiversité,
- d’inciter les citoyens des micronations à réduire l’utilisation d’énergie domestique en utilisant des appareils éco-énergétiques,
- de soutenir les démarches de limitation du gaspillage de l’eau,
- de promouvoir le traitement éthique des animaux par la reconnaissance de leurs droits,
- de favoriser la diffusion par les gouvernements et par les citoyens de ces bonne pratiques et des stratégies préservant l’environnement,
- de condamner la négation du réchauffement climatique et de ses causes anthropiques,
- de reconnaître la responsabilité des États et des citoyens dans la gérance écologique de leurs environnements.